Emery Schubert a révélé des insights intrigants sur la préférence pour la musique triste parmi les auditeurs.

Notre penchant pour les chansons tristes peut être attribué à une interaction complexe de facteurs psychologiques, émotionnels et physiologiques. 

Bien que la tristesse soit un sentiment que beaucoup d'entre nous cherchent instinctivement à éviter, il existe un paradoxe fascinant en ce qui concerne le plaisir de la musique mélancolique. Malgré notre inclination à éviter la tristesse, de nombreux amateurs de musique se trouvent attirés par des chansons qui évoquent des sentiments de mélancolie et de nostalgie. En effet, une étude menée par Emery Schubert a été publiée dans le journal PLOS One. Elle explore ce phénomène intrigant, mettant en lumière le plaisir que l'on peut retirer de l'écoute de chansons tristes. 

La recherche suggère qu'il existe en effet un certain plaisir associé à s'immerger dans les profondeurs émotionnelles de la musique triste. À travers une série d'expériences impliquant des participants écoutant différents types de musique et évaluant leurs réponses émotionnelles, l'étude d'Emery Schubert a révélé que la musique triste suscitait une gamme complexe d'émotions. Cette préférence pour la musique triste peut être attribuée à son rôle dans l'aide aux individus pour réguler les émotions négatives et trouver du réconfort en période de détresse. 

Dans l'ensemble, les résultats de l'étude soulignent la nature complexe de l'impact de la musique sur les émotions et le bien-être humains. La musique triste, en particulier, joue un rôle nuancé en offrant réconfort, consolation et libération émotionnelle aux auditeurs, mettant en évidence son importance dans leur vie émotionnelle. 

Crédit Photo : Photographie martin-dm / Getty Images©  
Avec ETX / DailyUp

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